Envie de sortir.. [libre]

Anita avait était contacter par une amie humaine, qui l'inviter ce soir à aller avec elle a une fête . La jeune fille avait répondue présente et Anita alla se vêtir. Ses longs cheveux bruns lâchez tout lisse, une paire de bas noirs une robe noir décolletée lui arrivant a mis cuisse,des bottes noirs lui arrivant jusqu'au pliant de la jambe a gros talons et des mitaines noirs également. Anita portait toute sorte de colliers des boucles d'oreilles en forme de croix d'argent (faux) des colliers en croix ou bien des têtes de morts..Elle se maquilla aussi de noirs et de mauves avec un rouge a lèvres rouge foncés..

Après deux heures d'habillage la jeune fille fut enfin prête alors elle sortie et ferma sa porte a clefs se dirigeant droit vers le quartier de Old Amaranthe, arrivée a destination, la jeune femme passa et alla se chercher un verre installer au bar ..

Assit à son bureau, Yannick consultait encore et encore ses dossier électronique. La soirée d'avant, il avait reçu par e-mail crypté, une demande de livraison d'arme pour l'un de ses quartier général en France. Ayant comme devoir, de leur faire parvenir le matériel le plus rapidement possible, il se devait de terminer cela avant de commencer quelques chose d'autre. Après plus de 15 heures de travail, le Seigneur Garou finit par mettre un terme à la commande pour tout envoyer à la fabrique concerné. Faxant le dernier document, Yannick s'écrasa complètement dans son fauteuil de cuir. Commençant finalement à relaxer un peu, il se fit déranger pour le bruit de son téléphone privé au bureau. Regardant l'appareil pendant quelques secondes, il finit par s'étirer le bras et décrocher. Avec une voix a la fois, très peu aimable il répondit.

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Mon Seigneur, Anita viens à l'instant de quitter le bâtiment. La surveillance de sa ligne téléphonique nous informe quelle se rends dans un Bar de la ville, pour aller rendre visite a l'une de ces connaissances humaine. Si j'ai vôtre permission, j'envoie sans attente une équipe la rattraper.

Ce fermant les yeux quelques instant, Yannick se massa le front. Poussant sont fauteuil vers l'arrière il se leva lentement.

- Ne prenez pas cette peine, Marc. Je vais moi-même lui mettre le grappin déçu. Elle comme tous les autres savent qu'ils n'ont pas le droit de libre promenade dans la ville, surtout avec les Vampires qui rodent. Dite moi seulement ou elle se rendra.

- A Pleasure Row, dans L'Obscurya mon Seigneur, je demande quand même a une équipe de rester sur le pied d'alerte. Si un problème survient, nous serons près.

- Très bien. Merci Marc.

Raccrochant la ligne, Yannick s'étira un bon moment pour déserrer tout les muscles de son corps. Finalement, sa lui ferait du bien de se dégourdir les jambes un peu. Accrochant Khalimshaar a sa taille, le Seigneur Garou s'équipa rapidement de ses deux Beretta 87 Target et marcha vers son grand balcon. Prenant appuis sur le garde-fou, Yannick regarda au loin pour se visualiser l'endroit exact et bondit d'un coup.

Traversant plusieurs pâté de maison du haut des airs, Yannick finit finalement par arriver ou sa fille devait se rendre. Regardant de haut, tout les humains qui se regroupait devant l'entrée pour faire accepter leur accès, Yannick se fit discrets et bondit au sol dans une des ruelles proche. Marchant calmement vers la ligne d'attente extrêmement longue du bâtiment, il décida de marcher vers l'avant immédiatement. Ce fessant insulter au passage par ceux qui attendaient depuis plusieurs dizaines de minutes, Yannick n'en fit rien. Cependant, un '' charmant '' jeune homme, décida de tenter le diable.

- Hey ! Tu va attendre ton tour crétin.

Attrapant l'épaule du Seigneur Garou au passage, il se fit répondre très brutalement. Attrapant la main du gars en claquant des doigts, Yannick l'écrasa sans pitié tout en se retournant.

- De Un, tu ne me Touche pas ! et de deux tu ne M'insulte pas ! C'est clair.

Retirant ces doigts de la prise de Yannick le gars de ferma la gueule et retourna attendre en essayant de retenir ces larmes devant les filles qui l'accompagnait. Ce retournant pour poursuive son chemin, Yannick ne dit pas un seuls mots et marcha en ligne droite. Arrivant face au responsable de la porte, le Seigneur Garou les regarda directement dans les yeux. Sa ne pris pas long feu, qu'il puis entrer sans devoir frapper plus. Marchant a travers la foule de personne qui dansaient sur le rythme de la place, Yannick aperçu sa fille au Bar attendant surement son amie. Prenant place discrètement près d'elle, il se commanda un whisky et dit.

- Tu sais que les règles s'adresse aussi a toi quand je parle et je préfère qu'on m'écoute quand je dit quelques chose d'important. Prenant une gorgé de sa boisson.

Une bonne ambiance avait imposée son règne, la piste de danse était emplie de danseurs, se déhanchant au rythme que la chanson imposée. Des filles se déhanchées, des gars dansaient, collaient, serraient à elles. Se frottant comme de vieux obsédés, pervers, en manque total de sexe et d'autres choses surement.

D'autres, versaient bien des drogues dans le verre de jeunes vierges effarouchées, naïves et complètement inconscientes de ce que l'homme séduisant puissent-ils être en face d'elles soit entrain de les trompées et de ce préparer à les violées, séquestrées ou nous savons qu'elles idées malsaines ils ont en vu.

Tandis que les yeux de la louve se baladaient dans la foule, danseurs ou non. Une odeur de parfum familière lui monta aux narines, de suite, Anita reconnut son père. Sachant très bien le pourquoi il était là, quoique un peu étonnée qu'il se soit déplacé de lui même sans envoyé ses chiens de gardes la remmener.

Son père s'assit à coté d'elle et demanda un verre de whisky que la serveuse s'empressa de lui faire . Bien sur, elle s'éloigna avec hâte suite au regard bestiale de la jeune louve. On n'approche pas son père aussi facilement, surtout quand elle est dans les parages . Un barman reprit la place de la fille. Adressant un sourire dragueur à Anita et se penchant vers elle lui demandant si elle avait besoin de quelque chose autre que d'un verre. Il était bien direct. Anita sourit et le fit s'approcher encore plus près de sa bouche, murmurant un "approche, c'est un secret." le sourire carnassier s'agrandit et elle lui murmura de nouveau : "Pose moi encore une seule avance et je te coupe ce qui te sert pour prouver ta masculinité . Même si je doute qu'elle soit visible, retourne joué au Ken, il y a Barbie qui t'attends chéri."

La jeune femme sourit et le repoussa, puis se tournant vers Yannick qui venait de lui parlait elle soupira brièvement, pensant au passage, qu'il ne devait surement pas encore s'être habitué à la voir désobéir, et puis, comment garder un louveteau en pleine croissance ? Même face au danger. Elle avait le goût du risque et de la bagarre dans le sang. Anita prit son verre et sirota un peu avant de lui répondre.

"Dit moi paternel chéri d'amour, tu oublie que je ne respect jamais les règles, pour ce qui est de les imposées, d'accord. Mais, de les faire, c'est une autre chose impossible et un mot inconnu dans mon vocabulaire. Je sais le danger, après tout j'aime ça."

De nouveau un sourire carnassier et une lueur animal sauvage en chasse ou en face de sa proie s'illumina dans les yeux de la louve. Elle souleva son verre fit un bref signe de santé à l'homme et se mit à le boire doucement, par petites gorgées.

N'ayant aucunement intervenu dans les petites manœuvre de sa fille, face à la jeune femme qui lui avait remit le whisky et les menaces quelle avait proféré au barman suivant, Yannick ne pris nullement la peine de se retourner. Il ne fit que continuer à fixer l'étagère remplis d'alcool face à lui, car l'atmosphère autour de lui l'écœurait. Tout ces humains naïf et humaine naïves, n'avaient aucune idées de ce qui se jouait autour d'eux, au même rythme que la musique. Dans un endroit pareil, les mortels qui était dans leurs délires total, n'était que des proies pour les immortels qui c'étaient permit d'entrer dans le bar cette nuit.

"Dit moi paternel chéri d'amour, tu oublie que je ne respect jamais les règles, pour ce qui est de les imposées, d'accord. Mais, de les faire, c'est une autre chose impossible et un mot inconnu dans mon vocabulaire. Je sais le danger, après tout j'aime ça."

Tournant légèrement la tête vers sa fille, sans toute fois bouger d'avantage, le Seigneur Garou vida le reste de son Whisky d'une gorgé. Il détestait devoir répéter 15 fois ses ordres quand il les donnaient et encore une fois il allait devoir montrer à sa fille le respectait.

- Tu oublie cependant ma chère fille, que je t'ai tiré bon nombres de fois de la merde que tu t'était toi-même imposé depuis que je t'ai pris sous mon aile. Et a chaque fois j'ai du effacer tes traces pour te sauver la peau. Par exemple, quand tu a stupidement envoyé balader un groupe de Vampire en les insultant dans ce même quartier il y a de cela quelques mois. Qui est venu te sauver la peau avant que tu ne te fasse tuer.... Roulement de tambour ! Et bien ces Moi.

Ha Oui ces vrai tu va me dire que tu avait les choses en mains bien évidement. Tu avais réussis a casser la gueule à l'un d'eux … quelle puissance remarquable, mais il était 5. Maintenant ne viens pas me dire que tu aime le danger, car il ne suffira d'une seule fois ou personne ne pourra te venir en aide, quand tu te sera foutu dans le pétrin et tu sera déjà morte. '' Pointe sa bière ''. Fait moi le plaisir de terminer ta consommation et nous quitterons après sans faire d'histoire.

Après avoir marché un bon moment de Old Amaranthe à Pleasure Row, Sanay avait la gorge sèche. Dans une rue, une musique tendance electro attira son oreille, et son corps, mené par cette même oreille, se dirigea en fonction de l'intensité de la musique.

"Obscurya", apparemment une boite de nuit, semblait le lieu idéal pour se désaltérer. Les videurs, occupés par une embrouille, ne prêté guère attention à la sortie de secours, qui fût pour moi le meilleur moyen d'entrer.

La folie semblait tenir se lieu, autant que le degré d'alcoolémie apparent chez certaines personnes. Sanay décida donc d'emmener sa soif vers le bar afin de chiner un verre.

Mais, son regard croisa un visage connu, chose guère commune depuis le réveil de Sanay à Tenebrys. Anita, étrange beauté, d'autant plus qu'elle était de sortie, sa tenue lui allait à ravir. Elle semblait accompagné d'une homme quelque peu tendu et qui semblait avoir une certaine autorité sur Anita.

Après leur rencontre à la bibliothèque, Sanay et Anita se s'étaient pas revu. Il se dirigea donc vers elle pour lui souhaiter une bonne soirée. Ils semblaient près de partir mais Sanay décida de les intercepter.

"Bonjour Miss Scaze, qui est votre hôte, si cela n'est pas indiscret ?"

[Je pense qu'il est possible que ce ne soit pas Anita qui réponde, c'est simplement pour poursuivre le rp libre]

» Ecouter les vieilles pierres [ Libre]